Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
MANGIN@MARRAKECH
MANGIN@MARRAKECH
Archives
Derniers commentaires
18 février 2011

XIMA & XIMA,

LES ENFANTS DES PILOTES CHANGENT SOUVENT DE MAISON

AMassartCXima_RGaliber3

Claudine XIMA et son chien Fouga entre Anne Massart et Roland Galibert

Claudine XIMA poursuit le récit de ses années à Marrakech avec sa famille et ses camarades de la Base 707. Elle nous a raconté son enfance, elle poursuit par le début de son adolescence. Voir sur ce blog : 22 septembre 2010: Regards de Claudine sur la DMP; 10 octobre 2010 : le Commandant André Xima; 16 octobre 2010: logement des familles sur la Base; 30 octobre 2010: Souvenirs de Claudine à la BE 707 et fête de Noël; Claudine a aussi participé à d'autres pages en ajoutant des photos et des documents.( Écrire Claudine Xima dans la case du moteur de recherche). Elle poursuit pour nous le récit de "Mon aventure marocaine "


Après le bloc "Air Atlas " sur la base aérienne,  mon père nous trouve un logement plus grand en ville, au Guéliz ,construit par l'office chérifien des logements pour militaires : OCLM
C'etait tout neuf et spacieux.
L'environnement : terrain vague planté de palmiers, une séguia passant au fond du terrain où nous allions pecher tortues d'eau , grenouilles et têtards.

ClaudineTortue

Les deux soeurs Blandine et Claudine soignent la tortue
L'école du Guéliz était proche puisque nous y allions à pieds. Tout le long du parcours nous mangions des jujubes. Il y avait une allée plantée de muriers qui conduisait à la séguia, ce cours d'eau sans doute venu de l'Atlas?
Inutile de vous dire que nous, les enfants de l'époque, avions un terrain de jeux fantastique.
Les petits marocains venaient faire paitre leurs moutons dans cet espace et nous jouions avec les petits agneaux.

immeuble3
Annie-Claude Garcia, Geneviève et Dominique Luciani et le chien de Claudine
Tout autour il y avait des petits pavillons occupés par les familles de l'armée de terre.
C'est à ce moment que ma passion pour la gente animale s'est développée et a mis la patience de mes parents à rude épreuve.
Nos logements avaient un balcon "de plaisance" d'un coté , et un balcon utilitaire à l'arrière, muni d'étendoir pour le linge et surtout de 2 grands bassins en ciment dont je me servais pour mon élevage de grenouilles, têtards et tortues d'eau....
Le problème c'était surtout quand des dizaines de têtards devenaient des dizaines de minuscules grenouilles à l'instinct libertaire qui sautaient partout hors du bassin !
Il fallait les rattraper et les transporter pour les remettre en liberté dans le cours d'eau,.. avant les foudres paternels !!!
J'élevais aussi des vers à soie et j'allais tous les soirs ramasser des feuilles de muriers fraiches pour mes petites bêtes dans la grande allée. j'adorais observer la transformation, le cocon, la chrysalide , le papillon c'était fantastique.


Puis il y a eu aussi la souris blanche "Minnie" apprivoisée certes mais mal aimée de ma mère! Il faut dire que la petite chérie avait aussi fait de l'exploration dans l'appartement et avait fait de la broderie anglaise dans un foulard de soie de maman qui n'a pas aimé du tout !
Un jour j'ai voulu l'emmener à l'école dans ma poche pour la montrer aux copines.
Et en plein milieu de la classe elle s'est échappée sous les yeux ahuris de la classe qui n'osait pas bouger, elle trottinait ...vers le bureau de l'institutrice , je tremblais de peur. Elle se trouva un petit trou sous l'estrade, puis disparut... L'institutrice n'avait rien vu mais j'ai fixé le trou jusqu'à la récré en attendant la catastrophe!
La récré tant attendue arriva enfin : pendant que des filles faisaient le gué , les autres enlevaient le bureau de l'estrade , d'autres soulevaient l'estrade pendant que nous essayions de récupérer "Minnie" qui faisait de la résistance. Enfin nous sommes arrivés avant la fin de la récré à tout remettre dans l'ordre et ré apparaitre, tel de petits anges, innocentes devant notre instit comme si rien ne s'était passé. (cf la photo CM1 de novembre 1956, pour voir les visages des innocentes!)

56GuelizFcm1

La scolarité de "Minnie" prit fin ce jour là....00" style="font-size: small;">

De gauche à droite, rang du haut: xX, xX, xX, xX, Monique JURY, xX, Léa DESOTTO, Jeanne PARDO, xX, xX, xX,

Rang du milieu haut: Marie-France MARTY, Claire LEGROS, Christiane LEMARÈRE, xX, xX, xX, xX, Colette BIANCARELLI, Madeleine TOURNIER, Claudine XIMA, Françoise CARTIER,

Rang du milieu bas: Betty BALL, x POMMIER, xX, xX, Ginette ACOCA, xX, xX, xX,

Rang assis devant: Chantal BARRY, xX, xX, xX, xX, xX. (Merci à Marcel pour son commentaire en bas de page)

Lors de nos ballades dans la mini palmeraie j'ai trouvé un bébé hérisson dont la mère était morte.Je l'ai bien sur ramené à la maison et nourri avec le biberon de ma poupée.Je l'ai sauvé , apprivoisé , il mangeait dans ma main, je le couchais sur le dos les piquants sur ma main et lui grattait le ventre , il adorait cela et ne hérissait pas ses pics pour ne pas me faire mal. Il s'appelait "WILLY", le soir je le promenais dehors; comme un petit chien il me suivait .
Les  hérissons au Maroc n'avaient pas de puces comme en France.
Les besoins nutritifs de Willy évoluaient. Il lui fallait des fruits , des légumes, du lait et en plus des insectes.
Les enfants du quartiers étaient mes pourvoyeurs en sauterelles, cafards, etc...que je mettais dans des grosses boites d'allumettes sur la paillasse de la cuisine.
Évidemment lorsque Maman voulait allumer le gaz elle ouvrait la mauvaise boite et avait des sauterelles qui lui sautaient au visage, elle hurlait et me maudissait , il valait mieux que je ne sois pas dans les parages dans ces moments là.


Puis mon père nous trouve un petit pavillon au pied du djebel GUÉLIZ ... et nous redémenageons à la fin de l'année scolaire (j'ai pu enfin finir une année complète).

C'était pas très loin des casemates rondes qui ont eu l'honneur du blog, (19 janvier 2010) des photos ont paru peut-être aussi sur celui de Michel Dupré?
Ce petit marché (disparu depuis) ou j'allais acheter des bonbons, et mon journal de Mickey.

Notre pavillon (que je n'ai pas retrouvé car il y a un parking à la place) était le dernier de l'allée en terre battue. Il y avait beaucoup de militaires (terre et air).
Nous étions au ras du djebel.
Combien de fois l'avons nous escaladé jusqu'au fort, d'énormes blocs de rocher parsemaient le parcours et procuraient des cachettes superbes. Que de jeux et d'aventures avons nous inventés sur cette  colline. Le monde nous appartenait, je n'ai jamais retrouvé en France ce sentiment de liberté , d'espace, que nous ressentions. (innocence de l'enfance ?)

J'ai ramené un pauvre chien battu et malheureux : un magnifique épagneul breton  que j'ai surnommé "FOUGA"
J'ai du user de beaucoup de persuasion pour obtenir l'autorisation de le garder.
IL n'écoutait que moi ! Il a mordu mon père, ma mère, s'est installé dans le lit de ma petite soeur et montrait les dents à mes parents qui voulaient le déloger .. C'était mal engagé !
C'était sans compter sur ma pugnacité !!!
Et puis je lui ai appris à devenir civilisé à mon chien !


Et  dernière ligne droite avant le retour en France.
Les fonctions de mon père sur la base l'obligeait à être sur place ... : donc redéménagement pour venir habiter le quartier officiers dans une villa (cf plan de Roland Galibert : 9 janvier 2011).

autoportrait securite_des_vols_58

Autoportrait d'André Xima (Cazaux, vers 1950); Remise de la coupe au responsable de la sécurité des vols ( Marrakech1958).
Les souvenirs sur cette base sont régulièrement évoqués sur le blog, ce qui a permis de nous "retrouver" de plus en plus nombreux pour évoquer nos années bonheur , partager nos anecdotes et nos souvenirs.

BLANDINE,  NOUS PARLE AUSSI DE SA SOEUR:

Voici quelques extraits de ses souvenirs:

Digne émule de St François d'Assise, Claudine, dés son plus jeune age,montra une attirance certaine pour nos amis les animaux. Et ils le lui rendaient bien. Peu lui importait qu'ils fussent estropiés, bancals ,caractériels, elle les aimait, c'est tout. Appartements ou maisons furent rapidement convertis en zoos grâce à l'indulgence patiente de ses parents.(...)

Aquatiques ou terrestres les braves tortues de Claudine pêchées dans les seguias marrakchis étaient trés voraces mais faisaient sa joie et celle des enfants alentour.
Le bac lavoir en ciment normalement affecté à la lessive était squatté par cette confrérie envahissante, d'autant plus qu'une horde de têtards avaient pris pension dans le bac voisin, le temps de sa croissance.
Précisons que la métamorphose des têtards en dizaines de grenouilles sauteuses, semait la confusion laissant la mère de famille au bord de la syncope.
Titine,Caroline et Gertrude les tortues terrestres causèrent moins de soucis.
WILLY , le hérisson eut une place à part. Claudine l'avait si bien apprivoisé, qu'il répondait à son nom .
La nuit se faufilant dans la chambre parentale, il se roulait en boule au fond des babouches confortables. Au matin, le Pater Familias expérimenta plus souvent qu'à son tour des réveils qui ne manquaient pas de piquants ! (...)

La moindre bête éclopée ou abandonnée atterrissait pour "révision" ou "réparation" chez notre vétérinaire en herbe. Il y eu un bébé marcassin orphelin , une caille blessée à une aile , deux tourterelles estropiées, un épagneul breton,un élevage de vers à soie,un lapin terroriste friand de fils électriques, etc... Au fil des années, contraintes de logis obligent, Claudine dû se résoudre à limiter les pensionnaires.(...)

Nul doute qu'une vocation d'infirmière libérale ne demandait qu'à s'épanouir.

SUR LA BASE, LES ENFANTS SE DÉGUISAIENT POUR LES FÊTES

JEAN-PIERRE GOUD NOUS EN DONNE QUELQUES EXEMPLES

fete_005

QUI RECONNAÎTRA LES MARMITONS ?

fete_004  fete_003

JEAN PIERRE ET CHRISTIAN LACINCE; QUELLE FÉE SE CACHE DERRIÈRE SON LOUP ?

fete_001 

QUI SE TROUVE SUR CETTE PHOTO AVEC JEAN-PIERRE ?

André XIMA avait un sens artistique inné

1XIMA  2XIMA7 

Dans toutes les escadrilles où il est passé (pendant la guerre en particulier) il faisait au crayon la caricature des pilotes et mécaniciens de l'époque. Il nous en reste que très peu, car ses dessins sont dans les archives du ministère parait-il car "de vrais petits chef-d'oeuvres" nous a t on dit.  Nous regrettons de ne pouvoir y avoir accès, nous aimerions au moins en avoir des photos.

Dans le bel ouvrage de l'adjudant Albin DENIS " HISTORIQUE de l'escadron de chasse 1/3 NAVARRE  de 1915 à 1999" , il y a plusieurs pages qui lui sont consacrées ou il est dit: "L'Adt André XIMA 2ème escadrille du GC1/4 , en plus d'être pilote ,il est l'artiste caricaturiste de l'escadrille "...
" 8 septembre 1944 : les avions du NAVARRE se posent à  AMBERIEU-EN-BUGEY . Les 2 escadrilles installent leur "popote" et rivalisent de talent pour les décorer. Plusieurs dessins et peintures seront réalisées par l'adjt André Xima , l'artiste du groupe.(...) L'adj XIMA auteur de tous les dessins qui ornent les bars de la 2.
"

J'ai retrouvé dans le grenier des esquisses au crayon qu'il dessinait, entre 2 alertes de la guerre 39 -45; certaines inachevées ... car la sirène avait dû sonner ..
Sans jamais avoir appris la musique il jouait "d'oreilles" dés qu'on lui mettait un instrument en mains ( c'était basique bien sur , mais nous ses enfants nous étions admiratives!) ( saxo  - piano - accordéon  - harmonica !) Que grâce à ce blog "il revive" me fait un bien fou , il nous manque tellement...

3XIMA5

Une anecdote supplémentaire:

"J'allais à l'école du Guéliz et j'étais très amie avec Marie-France Marty ( cf photo CM1). Son père était dans l'armée de terre, et ils habitaient un petit pavillon proche de nos immeubles OCLM.
Marie-France venait à la maison et un jour elle raconte à mon père que son père était originaire de Cahors.
Mon père lui raconte le mauvais souvenir qu'il avait de cette ville, son avion ayant pris feu, il avait  du se poser en catastrophe, en flammes dans un champ salvateur, et un jeune homme qui se trouvait là l'a aidé in extremis à se sortir de son avion qui a entièrement brulé.
Marie-France raconte le soir l'histoire à son père .... qui était ce jeune homme qui avait sauvé le mien ! n'est ce pas extraordinaire comme coïncidence  ?
Papa qui était trés croyant me disait qu'il n'y avait pas de coïncidence, mais un doigt divin qui nous poussait là ou il voulait que nous soyons."

ND_des_Ailes

La chapelle de la Base 707 par André Xima

MERCI À CLAUDINE POUR SES RÉCITS PLEINS DE LA SPONTANÉITÉ DE L'ENFANCE. ELLE NOUS PERMET DE REVIVRE NOS PROPRES HISTOIRES DU TEMPS DE L'ÉCOLE PRIMAIRE. ELLE PARTAGE AVEC NOUS LES OEUVRES ARTISTIQUES MÉCONNUES DE SON PÈRE À MARRAKECH ET AU MAROC (KOUTOUBIA, SOUK DE MOGADOR ET REMPART DE TAROUDANT). AVEC JEAN-PIERRE GOUD ELLE NOUS OFFRE UNE PHOTO DE CLASSE AU GUÉLIZ ET DES PHOTOS DE FÊTES SUR LA BASE AFIN QUE NOUS PUISSIONS RECONNAITRE DES VISAGES ET RETROUVER DES NOMS DE CAMARADES. CETTE PAGE APPELLE D'AUTRES SOUVENIRS, MERCI À CELLES ET CEUX QUI VOUDRONT LES PARTAGER SUR LE BLOG DANS LES COMMENTAIRES.

Publicité
Commentaires
C
Oui Jean-Louis je comprends ce que tu veux dire.Tout n'est plus comme avant , mais moi non plus, j'ai changé aussi.. Je suivrais à demi ton conseil : ne pas mettre ses pieds dans ses pas ...mais j'ai l'intention de les mettre à côté quand même..J'ai besoin de respirer les odeurs de cette terre , elles sont les mêmes avec un peu plus de CO2 certes ,c'est toute une ambiance que l'on retrouve, et le ciel bleu , tu oublies ce ciel lumineux incomparable. Papa avait commencé un tableau des souks de MRK inachevé , il n'a jamais pu le terminer en France car il ne retrouvait pas "la luminosité" de "la-bas" .<br /> Je suis une incorrigible sentimentale , pas passeiste , mais j'aime ce pays , je n'y puis rien . Et quand on aime on va rendre une petite visite amicale... <br /> <br /> Ceci dit je comprends qu'il ne faut pas espérer retrouver son passé intact sous peine d'être trés déçue , c'est un peu le sentiment que j'ai eu lorsque j'ai foulé ce sol 47 ans plus tard , mais le 1er choc passé , je n'ai qu'une envie : d'y repartir !<br /> Bien amicalement et mon meilleur souvenir à ton Papa.<br /> Claudine
Répondre
C
Michel est arrivé peu de temps aprés notre départ des OCLM pour notre villa du Guéliz.<br /> Je ne me souviens d'aucun nom de rue , par contre l'immeuble de 10 étages (10 ?) qui était en construction et dont une moitié est restée innachevée était juste derrière notre bloc , encore inhabité , nous n'avons connu que des occupants français.<br /> Il y avait 2 blocs , puis légérement décalé le grand batiment en construction , et plus loin une autre série de plusieurs blocs dont je ne me souviens plus du nombre exact. et de chaque côté de ces immeubles il y avait des petites maisons rustiques occupées la plupart par des familles de l'armée de terre.<br /> Merci Michel de ces précisions supplementaires.
Répondre
M
Bonjour !<br /> Quand je suis arrivé à Marrakech le 19 septembre 1959 (jour de mon anniversaire !), c'était de nuit sur un Dakota de Royal Air Maroc, avec ma mère ; mon père était arrivé au printemps. Il avait obtenu un logement OCLM (Office Chérifien de Logements Militaires. D'après ma mère, c'était des logements pour les officiers, mais il y avait quelques sous-officiers qui y logeaient. Le lendemain de notre arrivée, grand soleil ; au loin l'Atlas et autour des blocs, ce fameux terrain vague. La rue qui commençait au rond point de la route de Casablanca se terminait au milieu des blocs. C'est là, à la rentrée scolaire que le petit bus militaire (la boite à sardines) passait pour prendre les élèves de tous âges. Nous notre adresse, c'était rue du Commandant Roubiaud ; il y avait une lettre pour le bloc et un N° de logement. Il y avait sur la gauche un grand bâtiment d'une dizaine d'étages occupé par l'Armée Royale. La moitié droite n'était pas terminée (et je n'ai pas souvenir qu'elle le fut !). Les officiers de l'AR avaient des ordonnances qui promenaient les enfants dans le terrain vague ; et j'ai encore le souvenir d'une de ces ordonnances à béret vert faisant sa prière à genoux. Il y avait aussi sous nos fenêtres des bergers avec leurs troupeaux de moutons (on pouvait en commander depuis son balcon). Aussi des marchands de légumes ambulants et les livreurs à vélo du petit marché. A part les blocs modernes, il y avait des maisons rustiques occupées par l'Armée de l'air française. Elles auraient, d'après ce qui se disait, construites par la légion (à vérifier). Voilà les quelques images qui me restent !<br /> Amicalement.<br /> Michel Maumon, à Niort (79)
Répondre
J
Merci pour ton évocation remplie de souvenirs qui me font chaud au coeur !<br /> Quant à ton interrogation sur l'opportunité d'un voyage à MRK...<br /> Ma position sur cette époque bénie des dieux est la suivante ; ne jamais remettre ses pieds dans ses pas !<br /> On ne retrouve jamais sa jeunesse et Marrakech n'est plus celle que nous avons connue, nos amis n'y sont plus, les rue ne portent plus les mêmes noms... Bien sur cette opinion n'engage que moi et c'est un point de vue que je partage !<br /> Le temps et les évènement guideront ton choix.<br /> Bien amicalement à tous et à toi particulièrement,<br /> Jean Louis
Répondre
C
Je suis de plus en plus inquiéte avec les événements qui secouent l'Afrique du Nord... Vais-je pouvoir partir tout de même?<br /> Si les événements perdurent je crains que la base soit en alerte et ait d'autres chats à fouetter que satisfaire "une touriste" qui voudrait revoir les lieux de son enfance.<br /> L'épidémie de rebellion semble gagner du terrain , quel est la position exacte de la politique du Maroc à ce sujet? Le contexte n'est pas le même , certes mais les esprits s'échauffent facilement ....<br /> Qu'en pensez -vous?
Répondre
Publicité
MANGIN@MARRAKECH
  • BLOG DES MARRAKCHIS DU XXe SIÈCLE: AUX TEMPS DE L'AVENUE MANGIN DEVENUE BOULEVARD MOHAMED V, DU CAMP MANGIN DEVENU CAMP DE L'ARMÉE ROYALE ET DU LYCEE MANGIN TOUJOURS PROLONGÉ PAR LE LYCÉE VICTOR HUGO,... SALAM MRK ! SOUVENIRS, CONTACTS, RETROUVAILLES
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité