SALAM LVH ! LYCÉE VICTOR HUGO - 1961- 2011
SALAM MARRAKECH N°108 ! PLUS DE 130 COURRIERS DE LECTEURS ET DE NOMBREUSES PHOTOS D'ANTANS. (voir plus bas quelques hauts de pages du N°108)
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LES ÉLÈVES D'AUJOURD'HUI FONT APPEL AUX ANCIENS DE 1961-62
Ci-dessous une demande des élèves du LVH, soutenue par Julie MARTY, documentaliste responsable du CDI au LVH. Le Lycée Victor Hugo s'apprête à fêter ses cinquante ans au mois de mai prochain. Le club journal du Lycée prépare actuellement un numéro spécial sur ce thème. Nos élèves souhaiteraient obtenir des documents d'archives et des informations à ce sujet, plus particulièrement sur l'année 1961-62. Et les élèves d'aujourd'hui s'adressent aux anciens:
"Nous sommes les élèves du lycée Victor Hugo de Marrakech et nous participons au Club Journal. Nous allons consacrer notre prochain numéro au 50eme anniversaire du lycée et c’est pour cela que nous vous avons contacté pour avoir plus de renseignements : nous allons réaliser plusieurs rubriques qui regrouperont ainsi des témoignages.
Nous souhaitons donc demander aux anciens du lycée plus de détails sur leurs années passées, des anecdotes, le sport qu’ils pratiquaient, la musique qu’ils écoutaient, s’ils étaient internes et si ils possèdent des archives que l’on pourrait utiliser. Et si cela est possible, les anciens du lycée pourraient-ils signaler leur éventuelle présence prochaine à Marrakech afin de les interviewer ?
Merci beaucoup pour votre aide."
Clara Oiknine pour le Club Journal
Pour compléter ce que le blog a déjà édité sur le transfert de Mangin au LVH, nous publions ci-dessous un témoignage de Marcel MARTIN de Toulouse tiré de ses souvenirs :
.....Il manquait MAGNE copine de BERTON à la BE707."
Avant le LVH, le quartier LAMY: une caserne transformée en lycée.
La note du proviseur Caverivière d'Octobre 2000 donne des pistes pour réveiller les mémoires d'il y a cinquante ans.
NOTE
Après le retour de Madagascar du Sultan Mohamed V, la France met fin au Protectorat en 1956: nous devions laisser en particulier au 1er juillet 1962 tous nos établissements d’enseignements primaries, lycées, construits sur des terrains marocains, au Ministère marocain de l’Instruction Publique.
A Marrakech la France avait édifié au cours des années precedents, route de la Targa, un grand ensemble militaire destine à nos armées. La France en a acheté en 1956 une partie (terrain et bâtiments existants) afin de construire le future établissement français.
Le lycée comprenait donc initialement les trois bâtiments situés dans la grande cour transformés en salles de classe, ainsi que deux autres bâtiments donnant sur une rue transformés en dortoirs (filles + garcons).
Il était donc nécessaire de contruire les cuisines, le réfectoire, des bâtiments nouveaux destinés aux responsables.: bureaux, villa pour Proviseur, intendant et ses agents, etc…
Une seule classe de sixième fonctionne au lycée le 1er octobre 1961, toutes les autres sont au lycée Ibn Abad sous l’autorité du Provisieur M. Rossard, nommé le 1er octobre 1960 pour réintégrer la France deux ans après le 1er juillet 1962.
Nommé le 1er octobre 1962, je suis donc le Proviseur de l’ensemble qui fonctionne dans les nouveaux bâtiments sous le nom de lycée français Victor Hugo.
Au cours des années, le lycée s’embellit: plantation de nombreux arbres, construction de la piscine dont l’eau servait à l’arrosage, d’un terrain de tennis, d’un terrain de sport, etc… Les effectifs augmentent en raison des G.O.D. (Groupe d’obsevation dirigé) de Safi, d’Agadir, dont les élèves sont scolariés au lycée au niveau de la 4ème.
En 1965-66, les internes sont plus de 160, nécessité de disposer de lits superposés pour augmenter le nombre d’internes; nous atteignons un effectif global de plus de 1300 élèves.
Le lycée a son groupe théâtral sous la conduite de M. Hamard, professeur de lettres, ainsi qu’une école de danse sous l’autorité de Mme Sailland (? ), les representations ont lieu au Casino (Consul général, autorités marocaines sont au premier rang, ainsi qu’à Safi, Agadir.
Je m’occupe également des “Amis du théatre de France”, des “Jeunesses musicales” qui apportent un air de France.
Cependant, à partir de 1971, beaucoup de Français repartent en métropole; les armées françaises également avec tout le personnel civil, les effectifs diminuent.
Je réintègre la France en qualité de Proviseur du lycée Berthelot à Toulouse, puis de l’ensemble Université Raymond Naves, toujours à Toulouse.
Toulouse ce 1er octobre 2000 Caverivière
CE QUE LE NUMÉRO 108 DE SALAM MARRAKECH MONTRE.....
En lisant Salam marrakech N°108 vous saurez qui pose sur le photo de Sidi Farès
En lisant Salam Marrakech N°108 vous saurez les noms des autres joueurs
Une photo du Cours de danse de Madame Lebegin. Qui reconnaîtra un ou plusieurs visages des jeunes danseuses et inscrira leurs noms dans les commentaires?
Le N°108 montre beaucoup d'autres souvenirs et aussi la carte postale ancienne de Léopold Willemse avec une vue de l'autrucherie de la Ménara qui fut gérée autrefois par la famille de Fabrice MUZY.
Il est important de s'abonner ou de se réabonner à Salam Marrakech afin de soutenir Robert Lucké et l'équipe de rédaction profondément touchée par la maladie cet hiver. Ils vont mieux mais ont besoin d'être encouragés. Penser aussi aux jeunes du LVH d'aujourd'hui qui font la quête aux documents et souvenirs vieux de 50 ans.
Quelle Joie de revoire Mme Vey moins autoritaire que son Epoux plus rigide,mais aussi Efficace dans sa Mission de Prof ! Vive l'Histoire et la Géo enseignées par ces 2 Profs,le temps nous révele que l'Avenir se construit sur ce qu'ils nous ont révélé en nous laissant comprendre que la suite est à deviner !